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Ancien étudiant à l'École Supérieure de Commerce de Paris, ce sportif de haut niveau
est spécialiste du sabre. Champion du monde par équipes en 1997, il a remporté 2 médailles d'argent
aux Jeux Olympiques de Sydney (Australie) en 2000 : La première au sabre individuel, puis par équipes. |
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Né à Énencourt-le-Sec (60, Oise), petit village près de Chaumont-en-Vexin où son père était cultivateur, il fut l'une des célébrités médicales de son temps : Membre de l'Académie de médecine, il contribua grâce à ses recherches, mais aussi grâce à une inlassable force de conviction, à faire abaisser très notablement la mortalité infantile en France à l'aube du 20ème siècle. Sa renommée s'est étendue bien au-delà de nos frontières, puisqu'il est reconnu au plan mondial comme l'un des inventeurs de la médecine néonatale. |
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Voir la fiche biographique que nous
avons rédigée sur ce grand homme. |
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Ce fils de notaire est né à La Bouille (76, Seine-Maritime), charmant port sur la Seine en aval de Rouen (76, Seine-Maritime).
Les récits que lui contaient sa mère bercèrent son enfance, et le plaisir de lire en cachette dans un grenier l'initièrent à la littérature.
Il entreprit d'entamer à Paris une carrière d'écrivain, et obtint le succès dès 1859 avec "Les amants". |
C'est un double lien de cousinage qui relie la famille d'Hervé à Hector Malot, et que nous avons découvert en deux temps : |
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Célèbre homme de radio, animateur et producteur de télévision français, conteur et écrivain,
il débute avec son beau-frère Pierre Hiegel en 1948, ce qui en fait un pionnier des programmes de radio
et de télévision. Tout au long d'une carrière à la durée inégalée, il a créé de multiples émissions et jeux radiophoniques ou télévisés : Parmi les plus
connus : "Vous êtes formidables" (radio, 1951), "Télé Match" (TV, 1954-1961), "La Tête et les Jambes" (TV, 1961-1966 & 1975-1978),
"La Caméra invisible" (TV, 1963-1970), "Déjeuner Show" (radio Europe 1, 1969-1986), "Les Dossiers extraordinaires" (radio Europe 1).
Sa voix grave et chaleureuse et ses talents de conteur non seulement restent dans nos mémoires, mais ont également marqué le paysage audiovisuel français. |
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De son côté paternel, il est descendant de la noblesse d'empire, du village de Montherlant (60, Oise);
et, du côté de sa mère, de la noblesse catalane. Ses premières œuvres sont marquées par la 1ère guerre mondiale,
dans laquelle il voit l'exaltation de l'héroïsme. Il rencontra le succès littéraire avec "Les célibataires",
et publia de nombreux romans. À partir des années 1940, il écrivit beaucoup pour le théâtre, et on lui doit
notamment "La reine morte". Admirateur de Nietzsche, dans son œuvre, tragique et bonheur
trouvent un point d’équilibre.
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Il fut élu à l'Académie française le 24 mars 1960. |
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Né à Paris, sa famille est originaire de Jouy-sous-Thelle (60, Oise). Le chancelier Séguier, riche et
très influent, repéra ses talents et il put étudier pendant quatre ans en Italie. À son retour, il reçoit des commandes,
et le roi lui confie la décoration intérieure du palais de Versailles. Il est l'auteur du plafond de la Galerie
des Glaces, et d'une œuvre considérable en tant que peintre. Devenant aussi directeur de la manufacture des
Gobelins, et de l'Académie royale de peinture, il présidait ainsi aux goûts artistiques de toute son époque.
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Selon toutes les informations réunies, mais qui restent à vérifier : |
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En menant une étude approfondie sur la famille GUESNIER originaire de la région du
Vexin (entre Île-de-France et Normandie), dont Hervé descend, nous avons découvert
- parmi bien d'autres anecdotes - qu'une descendante contemporaine a épousé un arrière-arrière petit-fils
de l'empereur d'Autriche François-Joseph 1er ( Franz Josef von HABSBURG-LOTHRINGEN ) et de l'impératrice
Elisabeth, beaucoup plus connue par son surnom : "Sissi l'impératrice". |
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L'ascendance patronymique de Catherine se situe notamment dans le Nord du Lot et le Sud de la Corrèze.
Nos recherches menées sur place ont mis en évidence une famille qu'une association de généalogie locale
nous a permis de mieux connaître, d'abord à travers un cousinage avec un des membres, puis grâce à
un article paru dans son bulletin. En réunissant et en recoupant d'autres informations publiées par
ailleurs, nous avons découvert, de manière inattendue, un lien avec l'ascendance paternelle de l'ancien
chef d'état.
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Son père, Nicolas, était lorrain. Celui-ci quitta la France pour la Pologne à l'âge
de 16 ans, et ne revint jamais dans son pays natal. Devenu précepteur dans la famille du comte Skarbek, il épousa
en 1806 Justyna Krzyzanowska, dame d’honneur de la comtesse. Le second de ses quatre enfants, Frédéric, révéla
très tôt ses talents de pianiste. Il voyagera en Europe avant de se fixer définitivement à Paris en 1831. |
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